Deux mois que je me rends à Navotas une à trois fois par semaine et j’ai l’impression de n’avoir qu’effleuré le sujet. J’y suis d’abord allé accompagné, introduit, par des militants de Pamalakaya. Dans un espace limité au seul barangay Tangos (et encore, une partie seulement). On m’a installé à l’ombre, (...)